Le jour où j’ai pris la décision de faire de la chute libre. C’était en découvrant Point Break pour la première fois. Ce jour-là, devant ma télé, j’ai su que j’étais perdu : j’ai compris qu’un jour, je ferai à mon tour le saut. Et vous savez quoi ? C’est précisément ce que j’ai fait le week-end dernier, en effectuant un saut en chute libre à l’aérodrome. Evidemment, depuis lors, mes amis n’arrêtent pas de me demander ce qu’on ressent là-haut. Pourtant, c’est loin d’être facile à retranscrire. Et je comprends mieux aujourd’hui pourquoi j’ai eu autant de mal à trouver des retours d’expérience sur cette activité. C’est assez indescriptible. Mais je vais quand même essayer de débrouiller tout ça. S’il y a une chose qui m’a marqué, c’est que même si on tombe à une vitesse folle, on ne ressent pas du tout cette impression de vitesse. La raison est toute simple. Sur la route, on se rend compte de la vitesse à laquelle on file grâce au décor qui passeent. Par contre, là-haut, il n’y a pas tous ces repères : il n’y a donc pas de sensation de vitesse, à part le vent qui vous fait grimacer. La seule fois où j’ai pu me rendre compte de notre allure, c’est quand nous avons traversé un nuage. Pour autant, les sensations sont au rendez-vous. Mais elles sont en définitive très différentes de ce que je croyais. Ce qui prévaut, là-haut, ce n’est pas l’adrénaline (celle-là, on la ressent plus avant de se lancer) : c’est un sentiment de paix incroyable. Dès qu’on a sauté, on se sent incroyablement euphorique. Si vous prévoyez de faire un saut en parachute, c’est quelque chose essentiel à savoir, car je peux vous dire que j’ai été assez surpris une fois là-haut ! Voilà le lien le site où j’ai trouvé mon saut en parachuteLa chute libre ne dure qu’une minute, mais cette minute-là en vaut clairement des milliers d’autres…. Pour plus d’informations, allez sur le site de cette expérience de saut en parachute à Soulac et retrouvez toutes les infos.
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